Nouveau Megatrend “post covid” : 

Se préparer – aux CRISES à venir

Vu la brutalité de cette crise et les enjeux en terme de vie humaine et de croissance économique classique, la sortie de crise va amener à des contre chocs aussi brutaux et globaux … que l’on peut deviner mais pas forcément prévoir. Comment s’y préparer ? 

Les Etats comme les entreprises doivent comprendre que l’on ne peut pas prévoir les crises mais qu’on peut les anticiper. Pour ceci il faut développer des scénarios très contrastés avec pour chacun un plan d’action décidé à l’avance et testé que l’on peut déclencher rapidement. Bref il faut être sérieux sur le travail des scénarios  (ici reco InnoCherche), avec des actions bien préparées à l’avance pour chaque scénario et un suivi des signaux faibles pour probabiliser les scénarios et déclencher les plans d’actions (menaces opportunités)

Toutes les entreprises cherchent à imaginer des scénarios possibles de sortie de crise. 

L’histoire nous enseigne que la nature humaine est ainsi faite et que l’on a tendance à rejouer la dernière guerre, que ce soit la ligne Maginot en 1939 qui reprenait la guerre des tranchées ou encore plus près de nous les plans de continuité d’activité (PCA) après les attentats du 11 septembre 2001 qui prenaient tous comme scénario celui d’un avion qui venait écraser leur siège. Toutes les sociétés qui avaient investi sur des centres de contrôle déportés financés depuis des années sur des budgets de gestion des risques … se sont trouvés fort marris avec cette pandémie qui leur en interdisait l’accès.

Dans cette crise globale, chaque pays a dû, à des degrés divers, arrêter brutalement son économie pour éviter le pic de saturation des hôpitaux et sauver le plus de vies possible. Pour redémarrer leurs économies :

  • Tous les pays envisagent des plans de relance massifs avec de l’injection de monnaie des banques centrales de 5 à 10 % du PNB (Helicopter money est même envisagé au niveau individuel ). L’Etat va vouloir sauver des entreprises et vouloir jouer un rôle d’État-providence.
  • Suivant le système de protection sociale, l’inégalité entre citoyens dans cette crise sera énorme. Ceci est évident aux USA mais aussi en France avec un déséquilibre manifeste entre les travailleurs salariés qui sont bien protégés et les indépendants qui vont beaucoup plus souffrir. 

Bien sûr, le risque zéro n’existe pas mais il ne s’agit pas de ça. Tous les établissements ont l’obligation d’organiser des simulations incendie alors que les incendies sont très rares.

Compte tenu des enjeux, les dirigeants ne peuvent plus échapper à leur responsabilité de modéliser les risques existants et les plans d’action associés. Une fois rédigé, il faut se doter d’outil de simulations à la fois numérique et organisationnel comme le font toutes les armées du Monde.

Les Etats comme les entreprises doivent comprendre que l’on ne peut pas prévoir les crises mais qu’on peut les anticiper. Pour ceci il faut développer des scénarios très contrastés avec pour chacun un plan d’action décidé à l’avance et testé que l’on peut déclencher rapidement.

En s’appuyant sur l’expertise de ses ambassadeurs, InnoCherche propose une nouvelle façon de construire des scénarios  (ici reco InnoCherche). Cela passe par le recueil des signaux faibles et des occurrence de risques dans un périmètre bien plus large que le spectre couvert par les outils installés de gestion des risques. 

Beaucoup de guerres ont été perdues car nos dirigeants ont regardé dans le rétroviseur. Ceux qui ont gagné avaient une guerre d’avance. Ils ont su imaginer de nouveaux outils, de nouvelles approches et de nouvelles compétences.  C’est ce que InnoCherche et son écosystème d’ambassadeurs proposent d’explorer avec vous.